Cameroun – Eglises de Réveil: Pasteurs de pacotille

Au cours d’un débat dans une chaine privée émettant à Douala, un « pasteur » d’une église « réveillée » est interrogé sur sa formation suivie pour devenir « pasteur », comme il le prétend, et le nom du diplôme sanctionnant ces études. L’homme, la quarantaine bien entamée, sort directement de ses gongs.

Au lieu d’apporter des éléments de réponse à cette question suffisamment précise, il s’illustre à travers une extravagance querelleuse, en ouvrant un chapitre remarquablement blasphématoire, qui n’a rien à avoir avec la question. Cinq minutes assidues de diversion. Au finish, il ne répond pas à la question. Après quelques épisodes de faux-fuyants, il préfère quitter le plateau, abandonnant le présentateur et les autres intervenants.

En réalité, notre homme de Dieu ( ?) n’a suivi aucune formation pour devenir pasteur. Il n’en est pas un. C’est un usurpateur. Un pasteur de pacotille. Un manipulateur de consciences rétif à la contradiction. Comme cet homme, nombreux sont ceux qui prétendent être pasteurs dans les églises réveillées, prêchent tous les jours, sans être passés par une école de formation. Certains vont jusqu’à s’autoproclamer « prophètes », concurrençant à ciel ouvert le messie, Jésus Christ. C’est un fait. Les églises réveillées sont de plus en plus inondées de pasteurs de pacotille qui, généralement, se retrouvent dans ce rôle, non pas par souci d’enseignement de la parole de Dieu, mais pour se remplir uniquement les proches, en escroquant sans vergogne les fidèles sans espoir. Ces pseudos pasteurs, ceux dont Jésus Christ appelait « faux prêtres », constituent un véritable danger pour la société camerounaise. Tout comme ces « églisettes », qui inondent les villes du pays et qui exercent pour la plupart dans l’illégalité absolue. Pour éviter aux âmes sensibles de tomber dans le piège de ces « eglisettes », La Nouvelle Expression a jugé opportun de mener une enquête approfondie sur la formation des pasteurs et prêtres au Cameroun, en ressortant au passage la liste des 47 églises habilitées à fonctionner.

Pasteurs de pacotille !

Au lieu d’apporter des éléments de réponse à cette question suffisamment précise, il s’illustre à travers une extravagance querelleuse, en ouvrant un chapitre remarquablement blasphématoire, qui n’a rien à y avoir avec la question. Cinq minutes assidues de diversion. Au finish, il ne répond pas à la question. Après quelques épisodes de faux-fuyants,  il préfère quitter le plateau, abandonnant le présentateur et les autres intervenants. En réalité, notre homme de Dieu ( ?) n’a suivi aucune formation pour devenir pasteur. Il n’en est pas un. C’est un usurpateur. Un pasteur de pacotille. Un manipulateur de conscience rétif à la contradiction. Comme cet homme, nombreux sont ceux qui prétendent être pasteurs dans les églises réveillées, prêchent tous les jours,  sans être passés par une école de formation. Certains vont jusqu’à s’autoproclamer « prophètes », concurrençant à ciel ouvert le messie, Jésus Christ. Les  C’est un fait. Les églises réveillées sont de plus en plus inondées de pasteurs de pacotille qui, généralement, se retrouvent dans ce rôle, non pas par souci d’enseignement de la parole de Dieu, mais pour se remplir uniquement les proches, en escroquant sans vergogne les fidèles sans espoir. Ces pseudos pasteurs, ceux dont Jésus Christ appelait « faux prêtres », constituent un véritable danger pour la société camerounaise. Tout comme ces « églisettes », qui inondent les villes du pays et qui exercent pour la plupart dans l’illégalité absolue. Pour éviter aux âmes sensibles de tomber dans le piège de ces « eglisettes », La Nouvelle Expression a jugé opportun de mener une enquête approfondie sur la formation des pasteurs et prêtres au Cameroun, en ressortant au passage la liste des 47 églises habilitées à fonctionner.
 

Cameroun – Eglises de réveil: Comment les pasteurs narguent les …

La sortie épistolaire, en date du (16 septembre dernier, du pasteur missionnaire Kombé Ledoux, qui semble parler au nom des promoteurs des églises dites du réveil au regard du titre de sa lettre : Fermeture des églises pentecôtistes au Cameroun : Nous plaidons, publiée sur le site internet News du Camer, est de nature à dissuader les sous-préfets (ou mieux l’administration) de prendre à nouveau quelque mesure de fermeture ou de suspension des chapelles. Elle est intervenue après la levée des fermetures ordonnée par le gouverneur du Centre. S’adressant aux sous-préfets, particulière¬ment comme il le précise, «l’homme de Dieu» écrit : «… messieurs, certains parmi vous s’exhibent comme des stars en quête de gloriole pour énumérer dans différents médias (presse écrite, télés et radios) ce qui semble être selon vous des motifs recevables de fermeture de ces différentes chapelles».

Dans ce qui s’apparente à un cours de droit aux «chefs de terres», le pasteur indique, entre autres, que ces derniers n’ont pas compris le sens de l’article 5 de la loi du 19 décembre 1990 portant sur la liberté d’association.

Illégalité

Ces associations obéissant à deux régimes, celui de déclaration et celui de l’autorisation tel que le consacre l’article suscité, le pasteur Kombé Ledoux renseigne que : «Cela signifie que lorsqu’on s’est signalé au niveau des services de la préfecture, on devrait déjà exercer en toute tranquillité, en attendant le décret présidentiel. Les services de renseignements viennent constater la situation géographique des différentes chapelles et la manière dont sont conduits les cultes».

Sur l’illégalité de l’existence invoquée par les sous-préfets lors des récentes fermetures, il tourne en dérision les autorités : «Si on veut parler de reconnaissance juridique, peut-on reconnaître ce qui n’existe pas encore sur le terrain ? Cela relèverait du miracle !»

Pour ce pasteur, la loi de 90 «est la cause de la prolifération des églises de réveil, car avant elle, ces églises exerçaient déjà dans ce que vous qualifiez de clandestinité dans les maisons». Et poursuit-il avec virulence «si les dossiers de reconnaissance présentés par ces différentes associations religieuses, après une étude minutieuse et enquête de moralité, qui ont été transmis à la Présidence avec «avis favorable» du ministère de l’Administration territoriale (…) n’étaient pas en souffrance dans les tiroirs des services compétents depuis plus d’une décennie pour certains, on parlerait moins «d’illégalité» (…) Cette même loi est également la cause de la prolifération des sectes pernicieuses, des ordres mystiques, cabalistiques, des lieux d’ésotérisme et tout autre ordre satanique qui tiennent en captivité notre beau pays le Cameroun».

Les pasteurs C. Baty et F. Clavairoly écrivent au président de la …

Au nom de la Fédération protestante de France, les pasteurs Claude Baty et François Clavairoly, qui prendra ses fonctions le 1er octobre à tête de la FPF, ont adressé une lettre…

… le 6 septembre, au président François Hollande. Ils font part de leur inquiétude pour la Syrie et mettent en garde contre une initiative militaire “punitive”.

LETTRE DE LA FPF

Monsieur le Président,

La situation en Syrie préoccupe depuis plusieurs mois l’ensemble des nations et interpelle douloureusement les Eglises chrétiennes.

L’utilisation d’armes chimiques dans le conflit qui déchire le pays signe un franchissement inacceptable selon le droit international. Nous attirons cependant l’attention sur le fait que cette barbarie chimique ne doit pas banaliser la violence guerrière et terroriste constante.

– La Fédération protestante de France veut exprimer son horreur devant ces violences et devant de tels actes dont les auteurs devront un jour faire l’objet de poursuites devant la justice internationale.

L’impuissance actuelle des Nations Unies, qui peinent à régler ce conflit, et la gravité de la situation vous ont amené à envisager que la France prenne l’initiative, aux côtés des Etats-Unis, d’une frappe « punitive ».

– Les Eglises et communautés chrétiennes de la région avec lesquelles la Fédération protestante de France est en relation, nous alertent sur le fait qu’une telle initiative qui, à l’heure actuelle, semblerait ne pas disposer de justification dans le cadre du droit international, non seulement ne résoudrait pas la crise, mais ne manquerait pas de faire courir le risque de radicalisations politiques et religieuses et de violences supplémentaires dont les populations civiles y compris chrétiennes seraient encore les victimes en Syrie et peut-être aussi dans la toute la région.

– L’engagement vis-à-vis du peuple syrien pourrait se manifester par l’accueil de réfugiés, 4 millions sont déplacés à l’intérieur de leur pays et 1,7 dans les pays voisins.

– La Fédération protestante de France, dans le même sens que le Conseil œcuménique des Eglises et la Fédération luthérienne mondiale (voir références ci-dessous*), considère de son devoir de donner tous ces éléments d’information. Elle vous encourage à œuvrer inlassablement, dans le cadre des engagements internationaux de la France, pour la paix et la réconciliation. Elle encourage ses membres comme elle l’a fait lors de son AG en janvier, à soutenir en particulier les chrétiens syriens et à prier pour la paix.

Nous vous prions de croire, Monsieur le Président, en l’expression de notre considération distinguée.

Le pasteur Claude Baty, président sortant de la Fédération protestante de France

Le pasteur François Clavairoly, nouveau président de la Fédération protestante de France

* www.oikoumone.org : lettre du pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil oecuménique des Eglises, du 4 septembre 2013.
* www.lutheranworld.org : déclaration des pasteurs Munib Younan et Martin Junge, du 2 septembre 2013.


Catégories:L’Eglise, Politique

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Des cultes flashmob pour motiver les fidèles

«Si le dimanche matin il n’y a rien d’extraordinaire, les gens restent au lit.» Pasteur à Grandval, dans le Jura bernois, Marc Seiler est réaliste. Avec le Par8, un mouvement qui regroupe huit paroisses de la région, le pasteur a mis en place un système original de «cultes flashmob», a révélé mercredi «Le Journal du Jura».

Le principe: envoyer un SMS aux fidèles le vendredi avec les coordonnées GPS d’un lieu situé en plein air. Le dimanche, ceux-ci s’y rassemblent pour la célébration. Quatre rassemblements de ce type sont prévus entre septembre 2013 et août 2014.

«Ce n’est pas la recette miracle pour redécouvrir une spiritualité», confie le religieux. Et de rappeler que Jésus, en son temps, créait aussi des rassemblements spontanés dans des lieux insolites.

(joe)

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InterroGE – Ville de Genève

InterroGE : la réponse est humaine

Les bibliothèques de la Ville de Genève ont uni leurs forces pour mettre en ligne un nouveau service gratuit de questions-réponses, disponible dès aujourd’hui: http://www.interroge.ch

En répondant directement aux questions sur Internet – comme cela se fait depuis toujours sur place dans les bibliothèques – ce service va à la rencontre des publics, là où ils se trouvent aujourd’hui, sur le web. Il vise à valoriser les collections et le patrimoine des bibliothèques, à partager les compétences des bibliothécaires en accompagnant les publics dans leurs recherches d’informations.

Il permet à chacun-e de poser une question sur tous sujets par le biais d’un formulaire. Les bibliothécaires y apportent une réponse personnalisée en combinant les ressources du web et celles des bibliothèques.

Qui répond aux questions ?
Des professionnel-le-s de la recherche d’information, bibliothécaires, conservateur-trice-s et expert-e-s d’un domaine particulier.

Délai de réponse
InterroGE répond dans un délai de trois jours ouvrés (72 heures).

Le rôle de la BGE
La Bibliothèque de Genève est un des maillons essentiels de la chaîne de compétences mise à disposition sur interroge.ch. Ce nouveau service au public est un complément au service de référence qui répond aux questions des usagers sur place ou par courrier électronique depuis de nombreuses années.

Plus d’information : http://www.interroge.ch

« Google peut vous fournir 100’000 réponses, un bibliothécaire peut vous fournir LA bonne réponse! »
Neil Gaiman, Indianapolis-Marion County Public Library, « Neil Gaiman on Libraries »

Contacts

Raphaël Fiammingo
Chargé de communication
T +41 22 418 28 93

 

Evénement spécial – Ville de Genève

Les secrets révélés de la Compagnie des Pasteurs.

Présentation publique
Jeudi 26 septembre à 18h15
à la Bibliothèque de Genève aux Bastions > adresse

Accueil
Alexandre Vanautgaerden, directeur de la BGE

Regards sur 50 ans d’édition
Alain Dufour, éditeur de la correspondance de Théodore de Bèze

Restaurer et numériser une nouvelle mise en valeur du patrimoine
Pierre Flückiger, archiviste d’état

La bibliothèque de Genève dévoile les nouvelles archives de la compagnie des pasteurs
Paule Hochuli Dubuis, assistante-conservatrice à la BGE 

Remerciements
Albert-Luc de Haller, modérateur de la Compagnie des pasteurs et des diacres
Isabelle Graesslé, directrice du Musée international de la Réforme

Une collaboration de la Bibliothèque de Genève, des Archives d’état de Genève et de la Société du Musée historique de la Réformation

AEG, Cp. Past. R 6, p. 268 -269 (‘ Registre de la Compagnie des pasteurs ’, tome XIV et dernier (1618-1619), Droz, Genève, 2012

Les registres de la Compagnie des pasteurs ont été numérisés et restaurés. On pourra y avoir accès et découvrir les secrets de la Compagnie des pasteurs depuis 1547. La richesse des informations qui pourront être étudiées concernent autant  la vie locale de la petite République de Genève que les affaires du protestantisme européen.  
À l’aube du calvinisme, au XVIe siècle, les pasteurs genevois tenaient séance chaque vendredi et rédigeaient un procès verbal de leurs assemblées dans un registre. Ces informations, gardées confidentielles pendant des siècles, sont devenues accessibles grâce à une collaboration entre trois lieux d’études de la Réforme à Genève : la Bibliothèque de Genève, les Archives d’État et la Société du musée historique de la Réformation. Une édition scientifique, dont le dernier volume vient de paraître rassemble ces actes des origines à 1619. La suite de la collection compte 38 volumes jusqu’à 1848. L’ensemble permet de comprendre le rayonnement de l’Église et de la pensée de la Réforme à Genève et dans le monde.
La restauration et la numérisation de ces précieux registres manuscrits sont en cours sous les auspices de l’Église protestante. La documentation sera accessible sur le site des Archives d’État de Genève. 
La Compagnie des Pasteurs,  a fait également don à la Bibliothèque de Genève d’un important lot de manuscrits du XIXe siècle ainsi que de sa bibliothèque riche de 10’000 ouvrages.

Contacts

Raphaël Fiammingo
Chargé de communication
T +41 22 418 28 93

 

Frère Jean-François Ifonge, ex musicien quartier latin, alobeli ba …

0 # jambo 08-09-2013 15:45

ndeko oyo JF depuis émission ebandii kaka ko critiquer baninga ,Nzambe alobi ne juger point ,il ne pas un bon Évangeliste puisque ayebi le 4 lois spirituels tsee,donc azala nanu enseigner avant yako teya ,il est dans une Confusion totale ,quelle evangile azoteya ,moi je demande aleka na skipe totuna ye ba Question ,yemoko aza nanu bien transformer tsee puisque ayokaka ba musicien ya mokilii ,comment ayebi que Sakara afinkakii Ferre?

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