Dix raisons de ne pas ordonner des hommes pasteurs – La Matinale …

On savait pourquoi il ne faudrait pas ordonner des femmes prêtres, selon certaines Eglises. Voici une liste d’arguments pour ne pas ordonner des … hommes. Elle suscite un joli buzz sur http://www.sojo.net, le site de l’organisation oecuménique Sojourners, qui rassemble des chrétiens politiquement progressistes.

Dans les arguments, on trouve essentiellement des critères physiques et culturels. La constitution physique des hommes les qualifie surtout pour des tâches comme « couper des arbres et affronter des lions ». Du coup, il serait « ‘non naturel’ pour eux d’effectuer des tâches ministérielles ». Les hommes seraient également trop émotionnels, comme le montre « leur attitude quand ils jouent au football ou au basket ». De même, la propension à la violence des hommes et leur rôle dans l’armée les disqualifie pour le métier de pasteur ou de prêtre. « Ils seraient de pauvres modèles et dangereusement instables s’ils devaient occuper des postes de responsabilité », comme l’affirme l’auteur.

Mais il y a également des arguments théologiques rédhibitoires. Le premier concerne l’ordre créationnel : « L’homme a été créé avant la femme et est donc manifestement un prototype. Les hommes représentent donc une expérience plutôt que le couronnement de la création. » L’autre se réfère à Jésus. « Le Nouveau Testament nous dit que Jésus a été trahi par un homme. Son manque de foi et sa punition nous rappellent la position subordonnée que tous les hommes devraient adopter. »

Comme on vient de le constater, cette liste caricaturale permettrait de comprendre l’absurdité de certaines raisons avancées par des Eglises à l’égard du ministre féminin. Sur sojo.net, elle est présentée par le pasteur protestant Eugene Cho, qui dirige l’Eglise innovante Quest à Seattle. Il  tient à la fois à dénoncer les ministères exclusivement masculins et toutes les inégalités sociales et économiques entre les hommes et les femmes. Historiquement, une première version de cette liste a été faite en 2005 par David M. Scholer, professeur de théologie protestante au Fuller Theological Seminary, une faculté plutôt conservatrice. Scholer, décédé en 2008, était, lui, un militant en faveur de l’ordination de femmes, un principe qui ne va pas toujours de soi, même dans les milieux protestants.
 

Les pasteurs préfèrent les livres imprimés aux livres numériques …

etude ebooks IDBOOXLe Groupe Barna a publié une étude intitulée « Pastors + Books » sur les achats de livres et les habitudes de lecture des pasteurs.
La lecture numérique est entrée dans les mœurs mais les livres imprimés restent le moyen de lecture préféré de la corporation américaine.

Plus de la moitié des pasteurs interrogés déclarent qu’ils lisent sur une liseuse à encre électronique ou sur des tablettes de type iPad (ce chiffre a triplé en deux ans). Néanmoins, la moitié d’entre eux déclarent préférer un bon vieux livre à un ebook.

Concernant les affinités de lecture, les pasteurs déclarent majoritairement lire des livres de théologie et de spiritualité. 50% lisent des biographies et 1/3 des livres de Business. La littérature générale arrive derrière.

Internet joue un rôle d’influenceur. Les deux tiers des pasteurs ont déclaré avoir trouvé un livre sur le web qui est une aide à la décision pour choisir ou pas un ouvrage. 1/5 répondant déclare avoir déniché un livre via les réseaux sociaux et les critères de recommandation.  9 pasteurs sur 10 ont déclaré recommander au moins une fois par an et jouent ainsi, à leur tour,  un rôle d’influenceur.

Ces hommes et ces femmes de foi sont aussi de grands lecteurs. Ils achètent entre 8 et 13 millions de livres par an, ce qui représente une moyenne de 3.8 livres par mois et par personne. En comparaison, 29% des américains achètent plus de 10 livres par an.

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Protestants Deux pasteurs africains dans le Calvados et la Manche …

L’église protestante unie de Basse-Normandie comptera deux nouveaux pasteurs à partir du 1er juillet. La communauté de Caen accueillera la pasteure Christiane Nyangono. Camerounaise d’origine, elle succédera au pasteur Eric Trocmé, pasteur de l’église réformé de Caen pendant 10 ans. Dans la Manche, c’est le Burkinabais Basille Zouma, actuellement stagiaire en théologie qui prendra sa première charge de pasteur. La charge était vacante depuis l’été 2011.

Pasteurs américains, papes des lecteurs – ActuaLitté

Ils sont coutumiers du saint livre, mais n’en négligent pas pour autant de lire des textes plus récents. Selon une enquête menée par Barna, spécialiste d’enquêtes statistiques à destination des églises, les pasteurs américains sont de gros consommateurs sinon acheteurs de livres, avec en moyenne 3,8 livres par mois.

 

 


 

 

Un chiffre quatre fois supérieur aux usages du consommateur moyen, puisque seulement 29 % des Américains achètent plus d’un livre par mois (>10 livres par an). La donnée a son importance puisque le pays compte 315.000 temples et églises protestantes qui peuvent comporter plusieurs ministres du culte. Difficile à chiffrer, l’impact prescriptif des lectures pastorales sur les fidèles serait également à prendre en compte.

On sait toutefois que plus de neuf professionnels sur dix font des suggestions de lecture de la chaire, au moins une fois par an. Cette tendance à l’achat est encore accentuée chez les plus jeunes des religieux. De quoi maintenir pour les décennies à venir la bonne santé éditoriale.

Mais avec 8 à 13 millions achetés tous les ans par les religieux, la nature des livres est à considérer. Classiquement, les pasteurs sondés citent des ouvrages de théologie, d’histoire, de pratiques ecclésiales et de tendances culturelles comme principaux types de lectures. Un fonds à dominante professionnelle qui laisse paraître que la fiction y est légèrement moins représentée que chez le consommateur américain « laïc ».

Autre témoin de la différence de pratique selon l’âge des pasteurs, le support d’achat, qui chez les jeunes — 28 à 46 ans — préfèrent les structures en ligne et fréquentent moins les librairies religieuses pour leurs emplettes. Mais chez les trois tranches d’âges 28-46, 47-65, 66 et plus, les revendeurs généralistes se retrouvent en troisième position en proportion.

De jeunes ministres du culte qui consomment beaucoup en ligne, mais aussi des formats numériques. Environ la moitié des pasteurs possèdent un lecteur d’ebook ou une tablette, et le chiffre a triplé en l’espace de deux ans. Par voie de conséquence, les usages ont évolué en matière de sélection de titres. Deux tiers des pasteurs indiquent avoir choisi un livre en ligne, sans que soit inclus le rôle des réseaux sociaux dans cette prescription. Mais les confrères d’âges différents se rejoignent dans une prédilection pour le format papier à couverture rigide, sur le format souple ou numérique. 

À la manière du livre saint.

Pour approfondir

Pasteurs américains papes des lecteurs – ActuaLitté

Ils sont coutumiers du saint livre, mais n’en négligent pas pour autant de lire des textes plus récents. Selon une enquête menée par Barna, spécialiste d’enquêtes statistiques à destination des églises, les pasteurs américains sont de gros consommateurs sinon acheteurs de livres, avec en moyenne 3,8 livres par mois.

 

 


 

 

Un chiffre quatre fois supérieur aux usages du consommateur moyen, puisque seulement 29 % des Américains achètent plus d’un livre par mois (>10 livres par an). La donnée a son importance puisque le pays compte 315.000 temples et églises protestantes qui peuvent comporter plusieurs ministres du culte. Difficile à chiffrer, l’impact prescriptif des lectures pastorales sur les fidèles serait également à prendre en compte.

On sait toutefois que plus de neuf professionnels sur dix font des suggestions de lecture de la chaire, au moins une fois par an. Cette tendance à l’achat est encore accentuée chez les plus jeunes des religieux. De quoi maintenir pour les décennies à venir la bonne santé éditoriale.

Mais avec 8 à 13 millions achetés tous les ans par les religieux, la nature des livres est à considérer. Classiquement, les pasteurs sondés citent des ouvrages de théologie, d’histoire, de pratiques ecclésiales et de tendances culturelles comme principaux types de lectures. Un fonds à dominante professionnelle qui laisse paraître que la fiction y est légèrement moins représentée que chez le consommateur américain « laïc ».

Autre témoin de la différence de pratique selon l’âge des pasteurs, le support d’achat, qui chez les jeunes — 28 à 46 ans — préfèrent les structures en ligne et fréquentent moins les librairies religieuses pour leurs emplettes. Mais chez les trois tranches d’âges 28-46, 47-65, 66 et plus, les revendeurs généralistes se retrouvent en troisième position en proportion.

De jeunes ministres du culte qui consomment beaucoup en ligne, mais aussi des formats numériques. Environ la moitié des pasteurs possèdent un lecteur d’ebook ou une tablette, et le chiffre a triplé en l’espace de deux ans. Par voie de conséquence, les usages ont évolué en matière de sélection de titres. Deux tiers des pasteurs indiquent avoir choisi un livre en ligne, sans que soit inclus le rôle des réseaux sociaux dans cette prescription. Mais les confrères d’âges différents se rejoignent dans une prédilection pour le format papier à couverture rigide, sur le format souple ou numérique. 

À la manière du livre saint.

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Ces hommes et ces femmes de foi sont aussi de grands lecteurs. Ils achètent entre 8 et 13 millions de livres par an, ce qui représente une moyenne de 3.8 livres par mois et par personne. En comparaison, 29% des américains achètent plus de 10 livres par an.

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les eveques des lumieres : administrateurs, pasteurs et predicateurs

350ème anniversaire de la naissance de Jean-Baptiste Massillon
7 JUIN 2013 MSH, 4 rue Ledru, salle 220

8h45. Accueil des participants

9h00 Ouverture de la journée par Jean-Philippe LUIS, Directeur-adjoint du Centre d’Histoire « Espaces et cultures », Professeur d’histoire contemporaine, Clermont II

Introduction par Stéphane GOMIS, professeur d’histoire moderne, Clermont II

Président de séance :

Bernard DOMPNIER, Professeur émérite d’histoire moderne, Clermont II

9h15 : Isabelle BRIAN, Maître de conférences HDR en histoire moderne, Paris I Prêcher, le moyen de devenir évêque ?

9h35 : Stefano SIMIZ, Professeur d’histoire moderne, Université de Lorraine Prêcher et faire prêcher : l’évêque et la prédication au XVIIIe siècle

10h00 : Frédéric MEYER, Professeur d’histoire moderne, Université de Lorraine Nouveaux évêques pour nouveaux diocèses. Les prélats des nouveaux évêchés du XVIIIe siècle

10h20 : Discussion/Pause

Président de séance :

Frédéric MEYER, Professeur d’histoire moderne, Université de Lorraine

11h00 : Xavier BRILLAND, Doctorant, Le Mans François-Gaspard de Jouffroy-Gonsans, un réformateur zélé au siècle des Lumières (1721-1799)

11h20 : Arnaud PERTUISET, Docteur en histoire, Université de Lorraine Mgr Biord, évêque de Genève-Annecy (1764-1785) : un prélat des Lumières atypique ?

11h40 : Xavier MAURANGE, Docteur en histoire, Bordeaux III Lutte contre le jansénisme et action pastorale à Bordeaux dans les années 1730 : le cas de Mgr de Maniban, un archevêque doux et intransigeant

Discussion

12h15 : Déjeuner

Bibliothèque Clermont Université / Salle Massillon, 1 Boulevard Lafayette

Président de séance :

Jean EHRARD, Professeur honoraire de littérature moderne, Clermont II

14h00 : Fabrice BOYER, Directeur de la Bibliothèque Clermont-Université Une mise en espace en guise d’hommage : la salle Massillon à la Bibliothèque Clermont-Université

14h20 : Stéphane GOMIS, Professeur d’histoire moderne, Clermont II Construire la biographie de Jean-Baptiste Massillon. Un bilan historiographique

14h40 : Emmanuelle TABET, Chargée de recherches, CNRS La représentation des passions dans les Sermons de Massillon

15h00 : Joël FOUILLERON, Maître de conférences honoraire en histoire moderne, Montpellier III Une filiation épiscopale en Auvergne au XVIIIe siècle. Massillon et Ribeyre

15h20 : Discussion/Pause

Président de séance :

Jean-Paul ODDOS, Conservateur général, Responsable de la Bibliothèque du Patrimoine de Clermont Communauté

16h00  : Olivier ANDURAND, Agrégé d’histoire, doctorant, Paris X Le Missel de Troyes : aspects politico-ecclésiologique d’une querelle liturgique

16h20 : Caroline CHOPELIN-BLANC, Docteur en histoire, LARHRA, Lyon III Adrien Lamourette (1742-1794), un évêque-citoyen en Révolution

16h40 : Bruno LEAL, PRAG, La Rochelle Un prélat portugais mystique et réformateur en conflit avec son chapitre cathédral et l’Inquisition : D. Inacio de Santa Teresa, évêque d’Algarve (1741-1751)

17h00 Discussion

Conclusions : Bernard DOMPNIER, Professeur émérite d’histoire moderne, Clermont II

Journée mondiale contre l’homophobie: l’homosexualité en Haïti

Aujourd’hui 17 mai est la journée mondiale contre l’homophobie. L’homosexualité est légale en Haïti mais les insultes, les persécutions sont quotidiennes dans le pays : impossible pour un homosexuel de s’afficher publiquement. L’association Kouraj lutte pour que les droits des gays soient respectés et ses membres dénoncent les prêches homophobes des pasteurs évangélistes venus des Etats-Unis.

Pasteur’s quadrant | Climate Etc

by Judith Curry

The savage budgetary pressures we will have at least into the 21st Century are part of the reason why we must attempt to develop a fresh contract between science and government. – Donald Stokes

The linear model of science to policy is summarized on the blog Shaping Science, illustrated by this figure:

research linear

Of the numerous alternatives/critiques that I’ve seen, I think that Donald Stokes’ Pasteur’s quadrant is the most provocative in suggesting a new model that seems broadly applicable across the different sciences.  Stokes has written a book entitled Pasteur’s Quadrant: Basic Science and Technological Innovation.  The punchline of the book is encapsulated in this article by Stokes [link].

Excerpts:

A great deal of the vision of the nature of basic science and its relationship to technological innovation is contained in two aphorisms in the Bush report. Each was cast in the form of a statement about basic research – a term that was given currency by the Bush report.

The first of those aphorisms is that basic science is performed without thought of practical ends.  Bush made it quite clear that the defining characteristic of basic research is its attempt to find more general physical and natural laws to push back the frontiers of fundamental understanding.

What that aphorism came to mean, instead, was that there is an inherent tension between the drive toward fundamental understanding on the one hand, considerations of use on the other, and by extension, a radical separation between the categories of basic and applied science. Bush went on to endorse a kind of Gresham’s Law in which an attempt to mix the applied and pure in research was sure to result in the applied driving out the pure.

Having written that canon of basic research, Bush wrote down a second. It was that basic research is the pacemaker of technological improvement. If you insulate basic science from short-circuiting by premature thoughts of practical use, it will turn out to be a remote but powerful dynamo of technological innovation – the advances of basic science will be converted into technology by the processes of technology transfer, moving from basic to applied research, to development, to production or operations, according to whether the innovation is a new product or a process.

It is interesting to note that both those canons came to be captured by very simple, one dimensional graphics. The first was represented by the ever-popular idea of a spectrum of research from basic to applied. The dynamic version, the second canon of basic research, was represented by the equally popular idea of the linear model that moves from basic research to applied research via the processes of technology transfer. [The] third element in Bush’s argument is the notion that the nation will recapture the technological benefit of its investment in basic science.

Admiring as we all can be of the success of the paradigm view set out in Science: The Endless Frontier and its ushering in of the Golden Age of American science, the incompleteness of this view of the nature of basic science and its relationship to technological innovation has been increasingly clear.

Let’s first of all return to the first of Bush’s canons, that basic research is performed without thought of practical use. The rise of microbiology in the late 19th Century is a conspicuous example of the development of a whole new branch of inquiry because of considerations of use, not only the quest of fundamental understanding.

And that example is not a solitary one. Lord Kelvin’s view of physics was profoundly industrial and inspired in substantial part by the needs of empire. The work of the synthetic organic chemists over the turn of the century as they laid the basis of the chemical dye industry, and later, pharmaceuticals, was equally a melding of those two motives. Keynes sought an understanding of economies and their dynamics at the most fundamental level, but he sought that to lift the grinding misery of depression.

I have created a little bit of graphic reasoning to try to move one step in a more realistic direction. This array presents a new model of scientific research, which provides a more accurate depiction than Bush’s linear model. I call it “Pasteur’s Quadrant.”

Research is inspired by:

  • Considerations of use? No Yes
  • Quest for fundamental understanding?  No Yes

pasteur

[This represents] a two-dimensional conceptual plane, with the vertical dimension representing the degree to which a given body of research is motivated by the quest of fundamental understanding, and the horizontal dimension the extent to which it’s motivated by considerations of use.

Take a moment to consider the quadrants that are presented. The one at the upper left is for the pure voyages of discovery, the voyages of Newton. Let me call it Bohr’s Quadrant, since there were no immediate considerations of use in mind as Niels Bohr groped toward an adequate model of the structure of the atom; although note that when he found it, his ideas remade the world.

The quadrant at the lower right might be called Edison’s Quadrant since Edison never allowed himself or those working with him in Menlo Park five minutes to consider the underlying side of the significance of what they were discovering in their headlong rush toward commercial illumination.

But there certainly is “Pasteur’s Quadrant,” for work that is directly influenced in its course both by the quest of fundamental understanding and the quest of applied use – the sort of quadrant that supplies a home for what Gerald Holton has called, “work that locates the center of research in an area of basic scientific ignorance that lies at the heart of a social problem.”

Indeed, we’re going into the 21st Century with two closely interwoven trends: one, which is commonplace, is that more and more technology will be science-based. The other, which is still very widely under-appreciated, is that more and more science will be technology-based in just the sense that I’ve expressed and not merely in the sense of instrumentation, which has been important in Western science at least since the time of Galileo.

If we were to present a rival image for the one-dimensional linear model, it would be much more like the rise in fundamental scientific understanding and the rise in technological know-how as two loosely coupled trajectories. They are loosely coupled because the increase in scientific understanding is, at times, the result of pure science with very little intervention from technology, while the increase in technological capacity is often the result of engineering, design, or tinkering at the bench, in which there is no intervention by fresh advances of fundamental science. But at times, each of those trajectories profoundly influences the other. The influence can go in either direction with use-inspired basic research often cast in the linking role.

If the society was told that a heavy investment in pure science would produce the technology to handle a full spectrum of society’s needs, it was bound several decades later to stop and say, “Now just a moment, we have some unmet technological needs. Indeed, we have some that have been created by the technology spun off of your science – the deal is off.”

It must make the case for continued societal investment in realistic terms of the problem-solving capacity of science, terms that command the support and enthusiasm of the policy community and the country behind it.

JC comments:  There is a growing trend in U.S. science to focus on ‘use-inspired’ basic research, e.g. Pasteur’s quadrant.  This is evident in NSF proposal requirements, which require addressing ‘broader impacts‘ that includes benefits to society.  More explicitly, a recent call for NSF SEES proposals stated:

In order to enhance the broader applicability and transferability of this research, linkages within and between universities; research centers; state, local, and tribal governments; community organizations; federal agencies and national labs; and private organizations are encouraged. Engaging partners and stakeholders in the early phases of problem identification and definition, and iterative subsequent engagement can lead to novel paths of scientific inquiry and facilitate application of new scientific insights. Proponents are also encouraged to look for synergies with existing activities, facilities, networks, and centers.

With regards to climate science, the concern that I have is that there is too much research in the lower half of Stokes’ diagram, scoring low on making advances to fundamental understanding.  Applied research that is useful and used is a good thing, but at the end of the day I don’t see all that much applied climate research actually getting used by decision makers.  The primary problem being that there is too much focus on the climate models, and the climate models are not yet up to the task.

This leaves us with the unnamed 4th quadrant, which is often characterized as ‘taxonomy’, i.e. research that is neither useful nor contributes to fundamental understanding.  Climate model taxonomy is characterized by endless analysis of IPCC climate model runs and projection of ‘dangerous impacts’ . If these are not being used by decision makers, then they are in the 4th quadrant.

More research in the upper half of the diagram, please.  In the ‘use-inspired’ box is arguably climate model development research to support the IPCC.  This is ok (we definitely need better climate models), but I think too much funding for this mostly ends up feeding the relatively pointless 4th quadrant research.  I really like the NSF SEES model for use-inspired research, which is stimulating massively interdisciplinary research that has the potential to be useful and used, while at the same time advancing basic understanding of newly defined knowledge frontiers.

In the pure basic research box lies the really tough challenges, including solar physics, synchronized chaos, multiphase dynamics, turbulence, mixing in the deep ocean, etc.   There is unfortunately far too little activity in this quadrant, and better climate models and the attendant applications do depend on this very basic research.  JC note to NSF, universities, and professional societies: How to stimulate more activity in this quadrant is a key challenge for our field – too many of the ‘rewards’ are going to climate model engineering and taxonomy.

Quatre pasteurs consacrés – Eglise Adventiste du 7e jour – Adventiste

A la liste des 33 pasteurs déjà consacrés et qui exercent leur vocation en fédération France Nord, il faut ajouter désormais quatre nouveaux noms.

François TODESCO qui est en charge des églises de Metz et Nancy. Jarvis DOOM qui s’occupe des églises de Mulhouse, Guebwiller et Montbéliard.

Eddy CARNEVA qui officie à l’église de Paris-est et celle de Meaux et Jovica STOJKOVIC pour les églises d’Ivry-sur-Seine et Paris International Church (PISDAC).

Bonne continuation à tous !