Des pasteurs et leurs fidèles en mode “Star Wars” dans l’Eglise

Des pasteurs et leurs fidèles en mode "Star Wars" dans l'Eglise

© TOBIAS SCHWARZ / AFP

L’église de Zion, située dans le quartier berlinois de Mitte, a voulu dresser un parallèle avec le combat des forces du bien sur le mal. 

EN IMAGES – Une église protestante luthérienne de Berlin a célébré le culte dominical sur le thème de “Star Wars“, avec deux pasteurs brandissant des sabres laser et des fidèles déguisés en héros de la saga galactique.

Déguisés. L’église de Zion, située dans le quartier berlinois de Mitte, a voulu dresser un parallèle avec le combat des forces du bien sur le mal en recourant au nouvel opus de la série, “Le réveil de la Force”, sorti mercredi.

Dark Vador Eglise Berlin

TOBIAS SCHWARZ / AFP

Alors que de nombreuses églises allemandes voient leur fréquentation décliner, deux pasteurs en cours de formation, Ulrike Garve, 29 ans, et Lucas Ludewig, 30 ans, ont tenu dimanche un sermon d’un nouveau genre en brandissant un sabre laser rouge.

Star Wars Eglise Berlin

TOBIAS SCHWARZ / AFP

Des “parallèles avec la tradition chrétiennes”. “Plus nous parlions des films, plus nous y avons décellé des parallèles avec les traditions chrétiennes”, a assuré Ulricke Garve, citée dans un communiqué. “Nous voulons expliquer ces parallèles à ceux qui viennent au service religieux”.

Star Wars Eglise Berlin

TOBIAS SCHWARZ / AFP

L’église protestante de Zion est connue pour avoir eu comme pasteur Dietrich Bonhoeffer, écrivain et résistant anti-nazi qui fut assassiné dans un camp de concentration. Avant la chute du Mur de Berlin, le 9 novembre 1989, l’église, située alors à Berlin-Est, fut également un lieu de rassemblement de l’opposition au régime communiste.

Une église de Berlin célèbre le culte de “Star Wars”

L’église de Zion, située dans le quartier berlinois de Mitte, a voulu dresser un parallèle avec le combat des forces du bien sur le mal en recourant au nouvel opus de la série, “Le réveil de la Force” sorti mercredi et qui a déjà conquis des millions de spectateurs dans le monde.
 
Alors que de nombreuses églises allemandes voient leur fréquentation décliner, deux pasteurs en cours de formation, Ulrike Garve, 29 ans, et Lucas Ludewig, 30 ans, ont tenu dimanche un sermon d’un nouveau genre en brandissant un sabre laser rouge.

Dark Vador sur les bancs d'une église protestante à Berlin

Dark Vador sur les bancs d’une église protestante à Berlin

© Tobias Schwarz / AFP

Dark Vador sur les bancs 

Sur les bancs, certains étaient déguisés en Chewbacca ou en Dark Vador, principal héros de la série américaine conçue par George Lucas. “Plus nous parlions des films, plus nous y avons décelé des parallèles avec les traditions chrétiennes”, a assuré Ulricke Garve, citée dans un communiqué. “Nous voulons expliquer ces parallèles à ceux qui viennent au service religieux”.
 
L’église protestante de Zion est connue pour avoir eu comme pasteur Dietrich Bonhoeffer, écrivain et résistant anti-nazi qui fut assassiné dans un camp de concentration. Avant la chute du Mur de Berlin, le 9 novembre 1989, l’église, située alors à Berlin-Est, fut également un lieu de rassemblement de l’opposition au régime communiste.

Syrie, Irak, Nigeria… Des pasteurs qui tiennent bon

Des pasteurs risquent chaque jour leur vie face à la menace de Daech, Boko Haram ou de la guerre civile séléka / anti-balaka. Ils refusent de fuir, et ils témoignent.

Graves et déterminés. C’est ainsi que nous les avons rencontrés. Ils étaient invités par l’ONG protestante évangélique Portes Ouvertes, qui soutient les chrétiens persécutés à travers le monde. Après quelques jours en France, ils sont tous retournés chez eux. Pour des raisons de sécurité, ils ont refusé d’être pris en photo et ont changé leur prénom.

Séraphim
Syrie

Pour lire la suite de cet article, vous devez être abonné ou acheter ce numéro.

Haïti-Elections: La Conférence des pasteurs haïtiens réclame la démission de Vijonet Déméro

La Conférence des pasteurs haïtiens (Copah) a réclamé, le 14 décembre, la démission du représentant des Eglises protestantes au Conseil électoral provisoire (CEP). Il s’agit de Vijonet Déméro qui occupait la fonction de secrétaire général au CEP.

La cause a été explicitement exposée dans la lettre adressée à l’intéressé: le Cep «a failli piteusement à sa mission d’organiser des élections honnêtes et inclusives pour renouveler le personnel politique du pays».

La Copah déplore que le Cep ne bénéficie plus d’aucun soutien du pays à cause de «son implications dans des irrégularités et de fraudes massives sciemment planifiées ayant entachées les dernières élections».

la rédacation d’Evangeliques.info – 15 décembre 2015 14:10

Ebolowa : il fait interpeller des Prédicateurs

Ebolowa : il fait interpeller des Prédicateurs

Pour l’avoir accusé d’arnaque, Mounchili Ayouba le «prophète» fait arrêter d’autres pasteurs.

Mounchili Ayouba, prophète auto proclamé en service au ministère international de l’arbre de vie au quartier Bilone à Ebolowa, vient de faire arrêter quatre jeunes prédicateurs. Pour se venger des jeunes pasteurs qui l’accusent publiquement de mensonge, d’arnaque et d’escroquerie, le prophète à scandale a été sans pitié. Il n’a d’ailleurs attendu meilleur moment que la campagne d’évangélisation que tenaient les trois jeunes prédicateurs au carrefour an 2000. Le faux prophète les accusant de dénigrement.

Même le pardon qu’enseigne la bible s’est avéré inutile pour celui qui s’auto proclame voyant. L’interpellation spectaculaire des trois pasteurs a donc eu lieu hier, mercredi, 09 décembre 2015 dans l’après-midi. Aussitôt après leur interpellation, Aimé Ebanga Mbendja, Jerry Oliang Nnang et Rodrigue Douanla ont été conduit à la division régionale de la police judiciaire du Sud à Ebolowa où ils sont gardés à vue. Leur matériel de sonorisation pour la campagne d’évangélisation a également été saisi et se trouve à la Pj d’Ebolowa.

camernews-EBOLOWA

camernews-EBOLOWA

CAMEROUN :: Ebolowa : Il fait interpeller des prédicateurs :: CAMEROON

CAMEROUN :: Ebolowa : Il fait interpeller des prédicateurs :: CAMEROONPour l’avoir accusé d’arnaque, Mounchili Ayouba le «prophète» fait arrêter d’autres pasteurs.

Mounchili Ayouba, prophète auto proclamé en service au ministère international de l’arbre de vie au quartier Bilone à Ebolowa, vient de faire arrêter quatre jeunes prédicateurs. Pour se venger des jeunes pasteurs qui l’accusent publiquement de mensonge, d’arnaque et d’escroquerie, le prophète à scandale a été sans pitié. Il n’a d’ailleurs attendu meilleur moment que la campagne d’évangélisation que tenaient les trois jeunes prédicateurs au carrefour an 2000. Le faux prophète les accusant de dénigrement.

Même le pardon qu’enseigne la bible s’est avéré inutile pour celui qui s’auto proclame voyant. L’interpellation spectaculaire des trois pasteurs a donc eu lieu hier, mercredi, 09 décembre 2015 dans l’après-midi. Aussitôt après leur interpellation, Aimé Ebanga Mbendja, Jerry Oliang Nnang et Rodrigue Douanla ont été conduit à la division régionale de la police judiciaire du Sud à Ebolowa où ils sont gardés à vue. Leur matériel de sonorisation pour la campagne d’évangélisation a également été saisi et se trouve à la Pj d’Ebolowa.

© Le Jour : Jérôme Essian

REAGISSEZ A CET ARTICLE AVEC FACEBOOK

Gabon: La trésorière du pasteur Mapakou en fuite sur le point d’aller

David-Elysée Mapakou et Chimène Katoucha Kanimoute

© Koaci.com- Mercredi 09 Septembre 2015- Chimène Katoucha Kanimoute, la trésorière du pasteur du patron de Bâtisseur des richesses (BR Sarl), David-Elysée Mapakou, en fuite, s’apprête aller retrouver ce dernier à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

Selon une source digne de foi, la complice du véreux homme de Dieu pourrait quitter Libreville dans les prochaines heures pour être à l’abri des ennuis judiciaires auxquels sont en butte son compagnon.

Ce dernier avait pris la fuite après avoir grugé les abonnés de sa société de micro finance qu’il avait créée à sa sortie de prison en 2012. Il lui est reproché d’avoir mis le grappin sur la coquette somme de 13 milliards de F CFA issue des versements des clients éparpillés sur l’ensemble du territoire national.

D’après la source, Chimène Katoucha Kanimoute Search Chimène Katoucha Kanimoute est le bras droit du pasteur David-Elysée Mapakou. C’est elle qui gère les finances de l’église et paie les honoraires des pasteurs. Il se pourrait qu’elle soit en possession d’une partie de l’argent de BR Sarl qui a disparu des caisses de la

A en croire une autre source, la jeune femme n’a jamais travaillé, mais elle vit dans un luxe fou. Elle ne louerait pas des maisons en deça de 300 mille F CFA. D’où proviennent les moyens qui lui permettent de mener un tel train de vie ? La justice devait s’y intéresser avant qu’elle ne quitte le territoire national.

Sa fuite imminente n’est pas fortuite. Elle pourrait avoir été mandatée par son acolyte pour aller lui remettre les fonds en sa possession, David-Elysée Mapakou Search David-Elysée Mapakou ayant quitté précipitamment le Gabon sans avoir eu le temps de prendre toutes les dispositions nécessaires.

J M

5 leçons de l’Eglise persécutée

 

09/12/2015

Ron, pasteur néerlandais, partage les cinq leçons qu’il a apprises sur l’Eglise persécutée. Message délivré lors du dernier Week-End Annuel de Portes Ouvertes.

300x200C’est un vrai privilège que de pouvoir être là au milieu de vous. Je me sens tout à fait chez moi, car je viens des Pays Bas de l’équipe Portes Ouvertes des Pays-Bas. En ce qui me concerne Portes Ouvertes a commencé quand j’ai rencontré pour la première fois ce vieillard que vous venez de voir (Frère André), c’était il y a environ 10 ans. J’étais pasteur d’une église dans la ville où il résidait.

Et puis, un dimanche, à la fin du culte, il s’est approché de moi, il m’a serré la main. Il s’est introduit en me disant : «  Bonjour Ron, je suis Frère André » mais je ne connaissais aucun Frère André.
Je me suis dit : « Mais qu’est-ce qu’il veut ? » Pour raccourcir une longue histoire, à partir de là, a commencé notre chemin d’amitié. Vous savez, lorsque vous rencontrez Frère André et lorsque vous devenez son ami, aussitôt il vous donne une mission. Au bout de quatre semaines, il s’est tourné vers moi et m’a dit : «  Veux-tu être formateur d’autres pasteurs ? » Alors, je me suis dit que j’allais lui répondre comme il répond toujours : « Oui ! ». Et je suis parti.

Ce fut ma première expérience aux côtés de l’Eglise persécutée. Je pense qu’il s’est passé chez vous la même chose que pour moi lorsque vous avez eu pour la première fois contact avec l’Eglise Persécutée. Cela transforme votre propre cheminement avec Dieu. Peut-être allez-vous vous identifier à la première question qui m’est venue lorsque j’étais devant des pasteurs ayant vécu la persécution ?
Tout le temps, la même question me revenait en tête : « Et moi que ferai-je dans la même situation ? Serai-je un croyant aussi affermi qu’eux ? Serai-je capable de rester fidèle à Dieu s’il s’en prenait à mon épouse ? À mes enfants ? Comment réagirai-je si on me jetait en prison et si j’ignorais comment je pourrai en sortir ? » Dans les premiers temps où j’ai fait la connaissance de l’Eglise persécutée, c’était une question lancinante qui a fini presque par m’étourdir. Je ne voulais même plus penser à ce que, moi, je ferai si je me retrouvais dans la même situation qu’eux.

 Je leur ai dit : «  Mais est-ce qu’à vous il ne vous est jamais arrivé de penser à toutes ces épreuves par lesquelles vous passez maintenant et comment vous réagiriez alors ? »  Et vous savez c’est une question que j’ai posé à tout un tas de gens et à chaque fois j’ai reçu la même réponse : «  Tu ne sauras jamais tant que tu n’y es pas »  et à ce moment tu découvriras que ce n’est pas la fermeté de ta foi mais que c’est la fermeté de la foi que Dieu te donne qui te permettra de résister.

Cela fait partie du ministère de Portes Ouvertes parce que ce ministère est à double volet. Tout d’abord, il s’agit de fortifier l’Eglise persécutée. Et c’est à cela que Frère André a été appelé au début : «  Raffermis ce qui est sur le point de mourir ». Mais en même temps, c’est aussi la mission de Portes Ouvertes de préparer l’Eglise du monde occidental, soit disant libre, de la préparer à la persécution. Parce qu’en fait la bataille est la même que ce soit sur le terrain de l’Eglise persécutée ou pour vous ici en France. Alors, certes, pour les églises persécutées c’est un combat qui se livre d’une façon plus ouverte, plus visible et pour vous c’est plus subtil. Bien souvent, ces pasteurs persécutés me disent : « Averti ton Eglise ».

J’aimerais donc vous parler de 5 leçons que j’ai apprises auprès de l’Eglise persécutée.  Une église qu’il m’est donné de visiter une semaine par mois. Cela me permet d’en rencontrer beaucoup et d’en apprendre beaucoup…

LIRE LA SUITE

VISITE MANQUEE DE BONI YAYI AU BURUNDI : Nkurunziza droit dans ses bottes

Il était annoncé le 7 décembre dernier à Bujumbura, au Burundi. Mais finalement, son avion n’y a pas atterri. Le président béninois, Boni Yayi, puisque c’est de lui qu’il s’agit, devra encore patienter avant de jouer les médiateurs dans la crise burundaise. Que s’est-il donc passé ? Difficile d’y répondre pour l’instant, tant la confusion est énorme. Seulement, on sait que les autorités burundaises disent n’avoir pas été associées à la démarche de l’Union africaine (UA) qui a demandé à Boni Yayi de «se rendre dès que possible au Burundi pour tenter de débloquer la situation». Un choix qui est loin d’être fortuit, quand on sait que Boni Yayi et Pierre Nkurunziza sont tous deux des évangélistes en plus d’être des francophones. Toute chose qui aurait pu constituer un atout. Car, de l’entretien entre les deux hommes de Dieu, pouvait sortir la bonne nouvelle tant attendue. On était en droit de l’espérer d’autant plus que quand deux pasteurs se rencontrent, c’est, en principe, l’Esprit-saint qui les accompagne et les éclaire. Dommage donc que les deux pasteurs n’aient pas pu se rencontrer au grand bonheur des Burundais qui souffrent dans leur chair. On imagine donc que Nkurunziza n’a pas voulu de la visite de son homologue pasteur pour la simple raison qu’il croyait que l’homme venait lui demander, en bon fils de Dieu, de quitter le pouvoir pour éviter les tueries qui ont cours au Burundi. Les chiffres font froid dans le dos. On parle de plus de deux cents morts sans compter les nombreux déplacés qui ont fui le pays. Nkurunziza, à vrai dire, est allé trop loin pour reculer. C’est pourquoi il préfère s’accommoder de la médiation de son voisin Yoweri Museveni qui, on le sait, travaille plus à le maintenir dans son fauteuil qu’à trouver une issue heureuse à la crise. En témoignent ses nombreuses manœuvres dilatoires qui ont permis à Nkurunziza de gagner du temps.

Nkurunziza ne veut pas se voir imposer un nouveau médiateur

Si fait qu’aujourd’hui, il est beaucoup moins question du départ de Nkurunziza que de dialogue inter-burundais incluant tous les protagonistes de la crise. Or, un tel dialogue, s’il a lieu, fera l’affaire du pouvoir burundais qui aura tout le loisir d’en fixer les modalités. Donc, en un mot comme en mille, Nkurunziza ne veut pas se voir imposer un nouveau médiateur qu’il connaît à peine, fût-il évangéliste ou pasteur. Cela dit, en récusant le médiateur Boni Yayi, le président Pierre Nkurunziza a voulu envoyer un message fort à l’UA qui, faut-il le rappeler, a fait montre d’une irresponsabilité et d’une inconséquence notoires face à la crise burundaise. Nkurunziza refuse toute médiation qui viendrait remettre en cause son pouvoir. En tout cas, il revient au président Boni Yayi de tirer toutes les leçons de ce geste inamical de son coreligionnaire qui l’a désavoué d’entrée de jeu, en avançant des arguments qui ne tiennent pas la route. Mais comme le dit l’adage, «à quelque chose malheur est bon». Car, il faut le dire, le choix de Boni Yayi sur la base de sa proximité religieuse  avec le président Nkurunziza, avait de quoi donner de l’urticaire à plus d’un. C’est la preuve que l’Afrique manque de chefs d’Etat de grande stature, dont la voix porte. A défaut de confier le dossier au président Jacob Zuma dont le pays a parrainé l’accord d’Arusha qui vient d’être ainsi malmené, l’UA gagnerait à porter désormais son choix sur certains anciens chefs d’Etat comme Alpha Omar Konaré ou Joachim Chissano qui, forts de leur gouvernance vertueuse, n’hésiteront pas à cracher leurs vérités au dictateur Nkurunziza. Mais en attendant, le boucher de Bujumbura reste droit dans ses bottes, dans une logique implacable du pis-aller.

Boundi OUOBA

Église évangélique méthodiste: nouvelle prise en charge de la formation théologique

L’Église évangélique méthodiste en dehors des États-Unis connaît une croissance toujours plus grande : on en est à quelque 5,5 millions de membres et le chiffre est en augmentation. De ce fait, il y a un besoin croissant de pasteurs théologiquement instruits. Un fonds vient d’être créé pour répondre aux besoins à long terme.

Les dons initiaux ont été versés à un nouveau fonds de dotation pour l’éducation théologique dans les Conférences centrales. Ce fonds établit un soutien durable à long terme pour l’éducation théologique, similaire à la « Central Conference Pension Initiative » destinée aux pasteurs retraités.

Le nouveau fonds de dotation est consacré à la formation des pasteurs dans les sept Conférences centrales extérieures aux États-Unis, en partenariat avec la Commission du Fonds de l’éducation théologique des Conférences centrales. …

Patrick Streiff, évêque EEM Europe du Centre et du Sud

« Le fonds de dotation permettra d’assurer le financement cadrant avec le grand besoin de formation que nous éprouvons dans les Conférences centrales. Il servira à la formation des générations futures de pasteurs. Nous espérons recueillir 25 M $ des sympathisants à travers le monde. Il a été encourageant de constater que les premiers dons ont été promis en Europe et aux Philippines, puis des États-Unis, je suis sûr que le premier arrivera bientôt de l’Afrique », a déclaré l’évêque Patrick Streiff de la zone épiscopale de l’Europe du Centre et du Sud, qui préside ce fonds de dotation.

La dotation sera axé sur le renforcement de la formation théologique dans la tradition wesleyenne sur plusieurs points majeurs:

• La formation théologique des pasteurs locaux et des candidats au ministère ordonné

• La formation continue des pasteurs

• Bourses pour des études théologiques universitaires et postuniversitaires

• Développement d’infrastructures telles que la littérature, la documentation et le réseautage entre les institutions

• Promotion de nouvelles voies prometteuses pour l’éducation théologique

Les pasteurs qui ont bénéficié du soutien du Fonds pour l’éducation théologique des Conférences centrales opèrent déjà des changements dans leurs communautés.

À Murombedzi, Zimbabwe, le pasteur Emmanuel Taurai Maforo a conduit son église à participer aux efforts collectifs de nettoyage des déchets et a vu grandir sa congrégation. La commune l’a remarqué. Le Conseiller de la zone, Kizito Chamunorwa, a déclaré : « l’Église évangélique méthodiste nous a montré la lumière et apporté de l’espoir ».

En Sibérie, Maina Sashina est probablement la première de son groupe ethnique autochtone, les Udmurt, à obtenir un diplôme d’un Séminaire protestant. Sa formation théologique lui a permis d’atteindre son peuple avec la Parole de Dieu, elle y exerce un ministère en partageant sa foi d’une manière qui leur sont familières.

Le Conseil des évêques a créé le fonds de dotation en novembre 2014. Au cours de la dernière année, une étude de faisabilité a été réalisée avec des résultats encourageants, et le conseil d’administration du fonds a été créé pour mener le projet du stade de la planification à sa pleine réalisation. La composition de la commission met l’accent sur la diversité des Conférences centrales, avec des membres en provenance d’Afrique, d’Asie, d’Europe et des États-Unis

Le conseil d’administration est à la recherche des principaux donateurs prêts à soutenir la croissance de l’église internationale. Pour de plus amples informations sur les contributions au Fonds, prière de contacter son directeur exécutif bénévole, Minnis Ridenour (ridem@vt.edu). Les fonds provenant de la dotation seront versés par l’intermédiaire de la Commission du Fonds de la formation théologique des Conférences centrales.

1er décembre 2015

Traduction eemni

United Methodist Communications