Faut-il encore rémunérer prêtres, pasteurs et rabbins? – wat.tv

Vous voulez conserver ce reportage ? Téléchargez sur http://myreplay.tv/v/tCH64omJ . – Rémunérer prêtres, pasteurs et rabbins coûte près de 58 millions d’euros à l’état. Entretien avec Jacques Fortier, responsable du service politique des DNA. – Plus sur http://wizdeo.com/s/alsace20 . Pour exploitation TV, droits réservés, nous contacter sur http://wizdeo.com/s/banqueimages

Lire la suite Masquer la description

Thématique :alsace20 n’a pas choisi de rubrique | Tags :religion strasbourg alsace culte finances economie laicite concordat

Lire la suite Masquer les tags

Tibet: Tous paysans et pasteurs vont résider au «logement de vivre …

Cette année, le Tibet va accélérer l’exécution des « travaux de vivre en paix ». Il planifie de réajuster environs 900 millions de yuans pour résoudre le logement de plus de 50000 habitants restants, selon les deux réunions de la région autonome du Tibet hier.

En tant qu’une des « dix choses pratiques » pour des habitants à la région autonome du Tibet, les « travaux de vivre en paix » redeviennent un sujet intéressé par les représentants. A partir de l’année 2006, la région autonome du Tibet a insisté aux règles « améliorer, construire et migrer selon la situation actuelle », respecté les choix volontaires et les habitudes des habitants, amélioré au maximum leurs conditions de la vie et exécuté les « travaux de vivre en paix » qui centralisaient des forces à la transformation des logements ruraux, la résidence des pasteurs et la migration.

Jusqu’en 2012, la région autonome du Tibet a succédé à aider environs 410 mille foyers, soit achevé « le rêve de vivre en paix » de 2,1 millions d’habitants.

Alsace 20 – Faut-il encore rémunérer prêtres, pasteurs et rabbins ?

A l’occasion du 40ème festival d’Angoulême, rencontre avec Laurent Salles, dessinateur de presse. On peut retrouver ses dessins dans les journaux comme l’Alsace, le Bien Public ou le Journal de Saône et Loire. Contrairement aux dessinateurs de BD, il n’a pas des mois pour effectuer un dessin, mais plutôt une paire d’heure. Il se considère comme un sprinter dans le métier du dessin.

Emission du 29 janvier

Fautil encore rémunérer prêtres pasteurs et rabbins Vidéo Dailymotion

Sites webs/blogs, copiez cette vidéo avec le bouton “code embed” ! Si vous voulez télécharger, allez sur http://myreplay.tv/v/tCH64omJ . Rémunérer prêtres, pasteurs et rabbins coûte près de 58 millions d’euros à l’état. Entretien avec Jacques Fortier, responsable du service politique des DNA. plus sur http://wizdeo.com/s/alsace20 . Pour exploitation TV, droits réservés, nous contacter sur http://wizdeo.com/s/banqueimages

Région Lorraine | Haro sur la paie des pasteurs – Vosges Matin

Chaque année, les 1 393 salariés des quatre cultes reconnus en Alsace-Moselle (catholique, réformé, luthérien et juif) coûtent 58 millions d’euros au …

Bienvenue dans l’édition abonnés ! Pour lire l’intégralité de cet article :

Région Lorraine | Haro sur la paie des pasteurs LEst Républicain

Nancy. Chaque année, les 1.393 salariés des quatre cultes reconnus en Alsace-Moselle (catholique, réformé, luthérien et juif) coûtent 58 millions …

Bienvenue dans l’édition abonnés ! Pour lire l’intégralité de cet article :

Brésil des pasteurs évangéliques très fortunés | Linformation en …

La parution, le 17 janvier dernier, dans la revue Forbes des richesses accumulées par les plus fameux pasteurs brésiliens des diverses communautés évangéliques du Brésil est au centre de tous les commentaires dans ce pays. En rappelant que « la religion a toujours été une bonne affaire », l’hebdomadaire américain souligne que, dans le pays qui compte pourtant toujours le plus grand nombre de catholiques au monde, les évangéliques excellent dans l’art de traduire en espèces sonnantes et trébuchantes le formidable essor de ces mouvements.

A la tête d’une fortune de 2 milliards de réais (725 millions d’euros), Edir Macedo, fondateur et leader de l’Eglise Universelle du Règne de Dieu, est le pasteur évangélique le plus riche du Brésil. Outre les donateurs et les fidèles, cette fortune a été amassée grâce à la vente de 10 millions de livres, tous extrêmement critiques à l’égard des catholiques et des religions afro-brésiliennes, dans un pays où la tolérance religieuse est pourtant inscrite dans la Constitution.
Le plus gros coup financier d’Edir Macedo, propriétaire entre autre d’un jet privé évalué à 32 millions d’euros, reste néanmoins à ce jour l’acquisition, dans les années 1980, de Record, la deuxième plus importante chaîne de télévision du pays. Une présence dans les médias renforcée, durant la décennie suivante, par le lancement de l’hebdomadaire « Folha Universal », tiré à 2,5 millions d’exemplaires, et de la maison d’édition musicale « Record news ».

Pasteurs « dissidents » et fortunés

Ex-membre de l’Eglise Universelle du Règne de Dieu, Valdemiro Santiago possèderait pour sa part un trésor de guerre évalué à près de 147 millions d’euros. Suite à un différent avec Edir Macedo, le pasteur a fondé en mars 1998 l’Eglise Mondiale du Pouvoir de Dieu, qui revendique aujourd’hui quelques 900.000 fidèles et plus de 4.000 temples ornés d’immenses portraits de son fondateur.
Avec un magot estimé à 110 millions d’euros, Silas Malafaia, fondateur et dirigeant de l’Assemblée de Dieu est incontestablement le plus polémique, notamment pour ses prises de positions radicales à l’égard des communautés homosexuelles. Des positions qu’il défend en particulier via son compte twitter pour lequel il revendique 440.000 abonnés.
Déjà chanteur, compositeur et télévangéliste, Romildo Ribeiro Soares, connu comme R. R. Soares, est quant à lui le plus médiatique de tous les pasteurs évangéliques brésiliens. Toujours beau-frère d’Edir Macedo, il a cependant quitté l’Eglise pour fonder, en 1980, l’Eglise Internationale de la Grâce de Dieu. R.R. Soares est en effet l’un des visages les plus familiers du petit écran. Une visibilité qui paie puisque, celui qui s’est auto intitulé « missionnaire » possède, selon Forbes, une fortune personnelle de plus de 91 millions d’euros.

Vocations et formations intensives

La réussite financière de ces pasteurs – la liste est loin d’être exhaustive – suscite des … vocations. Devenir pasteur constitue d’ailleurs le rêve de nombreux Brésiliens. Un rêve accessible au plus grand nombre, car, au contraire de la plupart des églises protestantes qui requierent de leurs pasteurs un niveau d’études correct, les communautés néo pentecôtistes proposent des cours intensifs et en quelques jours seulement pour « former » des pasteurs pour un coût inférieur à 266 euros.

Un marché prometteur

Un investissement pouvant se révéler lucratif au regard du potentiel du Brésil. D’après l’Institut Brésilien de Géographie et de Statistiques (IBGE) les évangéliques représentent 22% de la population (soit plus de 42 millions). Et le marché est porteur puisque, chaque année, entre 2000 et 2010, ces églises évangéliques, dont la spiritualité s’appuie sur la « théologie de la prospérité » – qui enseigne qu’en plus du salut, le Christ promet et assure à ceux qui mettent en œuvre leur foi, la richesse matérielle, la santé et le succès,- ont accueilli plus de 1 millions de nouveaux fidèles.

Jean-Claude Gerez/Apic

Lire aussi :

  • Pas encore de proposition d’article en relation.

URL courte: http://info.catho.be/?p=25815

FAIT-RELIGIEUX | Trois bibles, deux pasteurs, une investiture |

Impossible d’imaginer une investiture présidentielle américaine sans bible, sans prière et sans pasteur, d’autant que le thème choisi cette année par la Maison Blanche est « foi dans l’avenir de l’Amérique »… La cérémonie qui se déroule aujourd’hui 21 janvier à Washington n’échappera donc pas à la règle. Pour son deuxième mandat, le président Barack Obama aura prêté serment sur pas moins de trois bibles : la première, ayant appartenu à la grand mère de Michelle Obama, a été utilisée dimanche pour une cérémonie privée, le choix de cette bible visant à honorer les familles américaines et leur volonté d’offrir un meilleur avenir à leurs enfants, selon la commission inaugurale.

Puis, aujourd’hui, à l’occasion de la cérémonie officielle, Barack Obama jurera sur deux bibles, posées l’une sur l’autre : celle d’Abraham Lincoln, comme lors de sa première cérémonie d’intronisation en 2009, et celle du révérend Martin Luther King, puisque l’Amérique celèbre aujourd’hui le « Martin Luther King’s day », ainsi que le 150ème anniversaire de la déclaration d’émancipation des Noirs par Abraham Lincoln, et enfin, l’inauguration, toujours en 1863, d’une statue de la liberté qui trône au Capitole. De même, toujours pour marquer la lutte des Afro-Américains, c’est Myrlie Evers-Williams, veuve du leader des droits civiques Medgar Evers, assassiné en 1963 devant chez lui, dans le Mississippi, qui fera une première «invocation».

Autre fait historique, ce sera la première fois qu’une femme, et qui ne fait pas partie du clergé, de surcroît, dira cette prière. Toutefois, ce n’est pas cette décision qui a soulevé la polémique. C’est le choix du pasteur qui devait clore la cérémonie par une bénédiction.

Anti ou pro-gay

Dans un premier temps, la Commission inaugurale avait porté son choix sur Louie Giglio, un pasteur évangélique qui officie dans une de ces « mega-churches » à l’américaine, la Passion City Church d’Atlanta. Sélectionné pour ses efforts visant à combattre le trafic d’êtres humains (il a levé ces dernières années plus de 3 millions de dollars à cet effet), ce sont les positions anti-gays de Louie Giglio, débusquées par les médias, qui l’ont rattrapé. Il y a une quinzaine d’année, le pasteur incitait en effet ses milliers de paroissiens à « réagir fermement aux méthodes agressives de certains dans la communauté gay », pour conclure que le « mariage pour tous » ne ferait que saper les fondements de la société… Louie Giglio s’est désisté dès le lendemain de la vague médiatique, déclarant que sa participation serait «minimisée par ceux qui voudraient faire de la polémique le point central de l’investiture ».

Du coup, c’est Luis Léon, le pasteur d’une église episcopale voisine de la Maison Blanche, la Saint John’s Church, où les Obama assistent à la messe du dimanche, qui prononcera la bénédiction. Un deuxième choix, donc, mais qui a plusieurs vertus, dont celle de mettre à l’honneur l’électorat hispanique, lequel a largement participé à la réélection d’Obama en novembre dernier. Au delà d’être pro-gay (son église les accueille sans discrimination et a annoncé cet été qu’elle bénirait leurs unions, d’autant qu’elle a des pasteurs homosexuels et a même eu un évêque gay dans le passé), Luis Leon incarne la success story tels que les Américains en raffolent. Arrivé à 12 ans aux Etats-Unis en provenance de Cuba où il avait déjà entamé son « voyage vers la foi », comme disent ses supporters, seul et sans un sou, il a réussi à obtenir un « Master in Divinity » d’une université théologique de Virginie, puis a officié dans plusieurs églises, jusqu’à celle de Saint John’s, à Washington.

Bis repetita

La polémique est donc terminée. Cependant, ce n’est pas la première fois que le président Obama ou son entourage se fourvoient en matière de pasteur. Ainsi, les supporters des droits homosexuels s’étaient émus du fait que ce soit le révérend Rick Warren qui ait été choisi pour faire l’invocation lors de la première cérémonie d’investiture, en 2009. Warren, un évangélique, ne fait en effet pas mystère de son opposition au mariage gay. Avant cela, en 2008, les Obama avaient dû finalement se distancier de Jeremiah Wright, le pasteur noir qui les a mariés et a baptisé leurs deux filles et qu’ils connaissaient depuis des années à Chicago, en raison de ses commentaires tous azimut sur la façon dont les gouvernements successifs ont traité les Noirs ou sur la politique étrangère américaine, qui aurait été responsable des attentats du 11 septembre 2001. Des sermons enflamés, où il est allé jusqu’à dire « God damn America »…

Ce 21 janvier, ce sera « God bless America », c’est sûr, que les Américains entendront, pour leur plus grand soulagement.

Religion / Messe annuelle des pasteurs Les serviteurs de Dieu …

L’église apostolique du Christ d’Adjamé a célébré le dimanche 20 janvier 2013, la convention annuelle de la session pastorale à Adjamé. Présidée par le pasteur Elijah Ayantokun et du sécrétaire général de ladite église, cette cérémonie qui se tient chaque 3ème semaine du mois de janvier sur une semaine, avait pour objectif de réunir tous les pasteurs des églises annexes, faire le bilan des activités de l’année écoulée, le recyclage, les perspectives de l’année en cours et les conférences bibliques. Selon Elijah Ayantokun, la cérémonie s’est tenue du lundi au vendredi et a pris fin le dimanche. «La convention prend fin avec la clôture d’action de grâce et réunit aussi toutes les églises annexes pour la convention», a-t-il dit. Il a profité de cette convention pour apporter un message de paix et de réconciliation à la nation. «Nous prônons la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire en cette année 2013. Nous devons soutenir le Président de la République de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara pour que le processus de la réconciliation ait un succès et apporte la prospérité. Je demande à Dieu d’aider les chômeurs à avoir du travail. Que chaque ministre agisse dans la sagesse de l’Eternel et aussi surtout santé au Président Alassane Ouattara pour une bonne gouvernance et l’avancée du navire», a déclaré Elijah Ayantokun !

S.P